Dans la rubrique...
- Observatoire du Coût des Conflits OpinionWay – All Leaders Initiative avec topics
- Digitalisation de l'intérim : quels avantages pour les entreprises ?
- Le manager de proximité de demain
- Invitation Observatoire de l'engagement
- Les notaires face au futur
- L'impact du télétravail sur la santé mentale des salariés
- L’impact économique du télétravail et des solutions de visioconférence pendant la pandémie
- Quel rôle les entreprises doivent-elles jouer dans l’accompagnement de leurs collaborateurs en matière de santé ?
- 7 prévisions pour la fonction RH en 2021
- Le Rendez-Vous de l’Entrepreneuriat Pour Tous
- Les salariés français et leur relation au travail
- Les salariés français face à l'épuisement professionnel
- L’opinion des étudiants en management hôtelier sur leur future carrière et leurs futurs employeurs
- Egalité femmes-hommes : après l’affaire Weinstein, #Metoo et #balancetonporc, où en est-on dans les entreprises ?
- OW pour Eleas
- Les salariés et la dématérialisation des procédures administratives RH
- Le sport en entreprise, bien plus qu’un service en plus - Par Bertrand Pulman
- Signs your workplace is stuck in ‘Communication Limbo’ - Par Dr. Gonzalo Shoobridge
- Seuls, les managers ne peuvent pas être de bons coachs
- Manager sans s’épuiser - Par Tessa Melkonian
- Réinventer le luxe par la responsabilité - Par Benoit Gajdos
- Les pratiques managériales les plus innovantes du monde - Chronique de Francis Boyer
- QVT, bien-être au travail : Peut-on dépasser le bullshit du babyfoot et de la corbeille de fruits ? - Par Michel Abitteboul
- Les leçons de management de Didier Deschamps - Par Geraldine Russell
- Fusion and addiction @ work: who are your "Fanatic" employees ? - Par Bernard Coulaty
- Les bénéfices inattendus du Reverse Mentoring - Par Selim Saadi
- La culture d'entreprise, ADN indispensable - Par Bruno Soubiès
- Gloire au savoir-être - Par Philippe Détrie
- Six salariés sur dix se disent "engagés" et l'entreprise a tout à gagner à les embarquer dans de bonnes causes - un sondage OpinionWay
- Conférence ELLE Active à Marseille : on y était et on vous raconte - Par Emilie Poyard
- Travail en open-space, baby-foot et bureaux partagés pour tous ? Cinq idées reçues sur la qualité de vie au travail
- "La génération Z, plus fidèle à l’équipe qu’à l’entreprise" - Par Elodie Gentina
- L’expérience collaborateur : investir dans le « Pourquoi» plutôt que dans le « Comment » - Par Guillaume Allain
- La classe renversée : enseigner pour apprendre et apprendre pour enseigner - Compte-rendu de la présentation par Jean-Charles Cailliez de son nouveau livre
- « La catégorie des "managers" va bientôt disparaître » - Interview de Gary Hamel par Léa Surugue
- RH : qu’est-ce qui vous fait lever tous les matins ? - Par Isabelle ROUHAN
- Five New Year’s resolutions to boost employee engagement in 2018
- If you Treat Employees like they don't make a difference, they won't! - Par Brigette Hyacinth
- "Pour près de trois salariés sur quatre la qualité de leur espace de travail ne s’est pas améliorée depuis 5 ans" - Baromètre OpinionWay pour CD&B 2017
- "L’entreprise de demain sera humaine, talentueuse et libérée" - Par Bernard Marie Chiquet
- Mais qu’est-ce que le management ? - Par Philippe Détrie
- Mais pourquoi se centrer sur l’être humain ? Et pourquoi maintenant ? - par Pierre Désangles
- La loyauté, une valeur indispensable pour un leader - par Gérald Karsenti
- Le dialogue social : une richesse sous-exploitée - par François Barbé
- Le recrutement dans le futur RH Lab - par Pierre Maurin
- Réussir une démarche responsabilité sociale de l’entreprise - par Nicolas Aubouin
- Ouvrir et enrichir la gouvernance - par Jean-Marc Le Gall
- Un new deal autour de l’engagement - Thierry Teboul
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Regards d'experts
Dans une époque où la responsabilité apparaît de plus en plus vitale à la performance des entreprises, accélérer la transformation « responsable » du secteur du luxe est une nécessité, voire une urgence.
En matière d’engagement et de RSE, les marques de luxe souffrent d’un péché originel : leur modèle exclusif, qui « profite » à un très petit nombre, semble par essence opposé au bien commun.
Audace, inventivité, souplesse, authenticité... Tout le monde s'accorde à dire que nos entreprises doivent se réinventer pour se différencier. Quand on parle d'innovation, on pense stratégie, offre, organisation et très rarement management, à savoir la manière dont on anime et les Hommes. Pourquoi ?
Vous, qui découvrez cet article, aimeriez-vous travailler au sein d'une entreprise où :
- les missions que l'on vous confie sont passionnantes ?
- les relations sont authentiques et basées sur la confiance ?
- vous disposez d'un niveau d'autonomie et de liberté suffisant ?
- les équipes sont solidaires et les collaborations entre services constructives ?
Stress et désengagement sont les conséquences logiques d’années de société industrielle basée sur le contrôle, l’obéissance et l’exécution. Mais aujourd’hui, face à un environnement Volatile, Interdépendant (que je préfère à Incertain), Complexe, Ambigu - voir VUCA - les compétences qui font la différence sont essentiellement des Soft Skills (voir rapport du World Economic Forum et du Boston Consulting Group). Pourtant, au lieu de mettre l’emphase sur le développement de ces compétences, les entreprises qui souhaitent améliorer l’engagement ou diminuer la pression vont souvent chercher des « QuickFix Solutions ». De fades outils décoratifs peu efficaces. Et le résultat n'est jamais là sur le long terme bien-sûr.
L'Équipe de France de football est en finale de la Coupe du Monde pour la troisième fois de son histoire. Cette réussite est à mettre au crédit de Didier Deschamps, sélectionneur et travailleur acharné dont les entrepreneurs pourraient bien s'inspirer.
Le football, ce n’est pas juste onze bonhommes qui courent après un ballon (et la France qui gagne à la fin). Une finale de Coupe du monde récompense un travail de longue haleine, une analyse stratégique fine et une cohésion à toute épreuve.
The quest for the "Holy Grail" of engagement raises the question of the level of engagement that is expected from employees and the type of transaction between the employee and the organization. From an extreme of disengagement and “detachment” to another extreme of over-engagement and “addiction,” indeed, several combinations are possible:
Evidemment, parmi les bénéfices des programmes de Reverse Mentoring que je vais partager avec vous dans cet article, vous en aurez peut-être déjà identifié. Pourtant, le fait de découvrir un nouveau bénéfice lié à un dispositif que l’on hésite à déployer au sein de son entreprise, peut s’avérer être un élément déclencheur. Une manière aussi de convaincre des collaborateurs encore prudents ou trop peu renseignés sur le sujet.
Adieu les gadgets, les vœux pieux non suivis d’effet… L’heure est au pragmatisme, aux petits changements au quotidien qui amélioreront concrètement la vie des salariés et de leur entourage.
La culture d’entreprise, c’est d’abord l’ambiance qu’on ressent au sein de l’entreprise. D’un seul coup d’œil, on peut la percevoir, la ressentir en prenant la peine d’observer l’allure des collaborateurs qui entrent dans l’entreprise, leurs codes vestimentaires, leurs relations avec la hiérarchie, l’ambiance générale sur les lieux de travail, lors des pauses…
C’est la révolution en matière de management des personnes.
Le monde des organisations a connu l’ordre, la discipline, la régulation par le règlement et la sanction. Heureux temps où il suffisait d’être chef, temps béni de la soumission (pour le chef !). La force était l’atout, l’indicateur était le labeur ajouté…
Puis au siècle dernier, avec les écoles de relations humaines et les mouvements qualité, motivation et satisfaction font leur entrée. Le process remplace la consigne, le collaborateur et le client apparaissent ! La puissance intellectuelle est l’atout, l’indicateur est la valeur ajoutée…
Qu'ils soient bénévoles dans une association, un syndicat ou un parti politique, six sur dix salariés se définissent comme "engagés", selon une étude révélée par franceinfo.
Comment les salariés combinent-ils leur engagement bénévole, en dehors de leur travail et leur temps de travail ? Est-ce qu'ils en parlent au bureau ? Et pensent-ils que l'entreprise pourrait leur proposer des pistes pour faire du bénévolat ? Une étude, que franceinfo dévoile en exclusivité, répond à toutes ces questions.
Jeudi 17 mai, plus de 300 lectrices du magazine ELLE ont assisté à la première conférence ELLE Active à l’hôtel de Région de Marseille. L’idée ? Se réinventer au travail. Débats, décryptages d’experts et témoignages inspirants : on vous raconte.
L’Observatoire Actineo a mené une grande enquête sur la qualité de vie au travail en 2017. Qu’attendent les salariés français ? Dans quelles conditions travaillent-ils réellement ? Les résultats sont plutôt étonnants... Entre mythe et réalité, LCI fait le point.
La génération Z, portée par la quatrième révolution industrielle, impose un renouveau du management.
Une des thématiques clés du bouleversement entraîné par la génération Z (née après 1995) est son rapport à la fidélité, ses membres étant qualifiés de « zappeurs » dans le monde du travail. Selon une étude réalisée par Ipsos fin 2017 pour la plateforme Revolution@Work, 64% des jeunes français assurent qu’exercer plusieurs activités professionnelles en même temps sera la norme dans 10 ans (lire aussi la chronique : « En 2033, je ne travaille plus… je transfère »). Un chiffre qui atteint 70% au Royaume-Uni. Autre donnée marquante : un jeune français sur deux refuse de s’engager à long terme, privilégiant le statut d’intérimaire ou de « free-lance », qui offre plus de souplesse et de flexibilité. Le CDI n’est plus une fin en soi pour les jeunes talents.
Rien qu’en France et uniquement sur Twitter, le hashtag QVT (Qualité de Vie au Travail) a été utilisé 2 700 fois au cours de la première semaine de novembre 2017. Plus qu’une tendance, l’expérience collaborateur requiert toutes les attentions de la fonction RH. Or, nombreuses sont les entreprises qui n’ont pas compris que la QVT n’était qu’une composante de l’expérience collaborateur.
Jeudi 7 décembre 2017, Jean-Charles Cailliez était chez CD&B à Paris pour présenter son nouveau livre, La classe renversée, et partager son expérience en matière d’innovations pédagogiques. Un rapprochement naturel entre 2 acteurs du monde de l’éducation qui partagent les mêmes ambitions, Jean-Charles Cailliez en tant qu’expert des pédagogies innovantes et CD&B en tant que professionnels de la mise en place d’environnements de travail les favorisant (création de « zoo spatial », mobilier adapté, tableaux numériques ou mobiles…). Pour CD&B autant que pour Jean-Charles Cailliez, il ne s’agit pas de tout révolutionner mais plutôt de proposer des pistes pour une école plus inclusive et mieux adaptée aux attentes de ses utilisateurs, enseignants et apprenants, ainsi que de la société d’aujourd’hui.

Le 14 Février, c’est la Saint Valentin.
C’est aussi le jour où NUMA Paris et l’ACSEL, organisaient un événement centré autour des nouvelles mesures de la performance dans les organisations agiles - Un événement dont Viuz était partenaire.
Les hasards de calendrier font bien les choses : ce qui nous fait nous lever le matin, c’est d’abord l’amour, mais c’est aussi notre job. Et on se lève plus facilement quand notre performance est appréciée à sa juste valeur.
Resolution #1 Help your employees save time and benefit in kind
Time is money, yet it is also a source of stress when you’re stuck in traffic! On average, people around the world spend close to 40 minutes on their daily commute to work (and the same on the way home). That adds up to 300 hours a year, the equivalent of more than 10% of the time actually spent at work. An effective company policy on travel and transport can therefore make a real difference when it comes to employee engagement and productivity.
Employees are our greatest asset. Then why do most companies treat employees poorly? Any strategy or business plan relies on motivated and engaged people to make it happen.
One company I worked at, you could work until 7:00pm. And, no one would say a word and no, they didn’t pay any kind of overtime. However, when it was time for annual performance reviews they could list every mistake an employee has made. It was a morale killer. So employees became disengaged. They would come to work on time, do their assigned duties and give nothing extra.
Alors que l'on s'interroge beaucoup sur le rapport des Français à leur espace de travail, force est de constater que 50% des salariés n'ont vu aucune évolution dans la qualité de leur environnement professionnel ces 5 dernières années, une proportion restée stable depuis 3 ans. Pire, ils sont 24% à considérer qu'elle s'est dégradée, un chiffre qui - s'il est en légère baisse (-5 pts en un an) - montre que cette question reste peu prise en compte par les entreprises.
La 3e édition du baromètre OpinionWay pour CD&B sur la relation entre les espaces de travail et le bien-être des salariés révèle que les salariés et les étudiants français sont plus ouverts au changement que ce que l’on voudrait faire croire.
C’est peut-être une spécificité de notre beau pays mais, lorsque l’on aborde le sujet de l’entreprise et de son avenir, on croit parfois parler de la fin du monde. Il faut dire que, partout où le sujet émerge, l’homme est systématiquement promis à un avenir sombre. Après l’avoir exploité au maximum, l’entreprise s’apprête à se passer de lui. L’avenir est synonyme de chômage, de disparition de tous les métiers peu qualifiés ou manuels.
L’entreprise se délocalise et se robotise, présageant d’un monde où l’homme est voué à se voir dépassé puis remplacé par l’intelligence artificielle. Ils sont nombreux ces "visionnaires" de mauvais augure qui nous prédisent une entreprise totalement déshumanisée où l’homme ne sera au mieux qu’un observateur d’un système qui lui aura totalement échappé.